En avant et toujours plus haut pour la Chambre de Bahreïn pour le règlement des différends
La Chambre de Bahreïn pour le règlement des différends (BCDR), récipiendaire en 2021 du prestigieux prix attribué par le journal d’arbitrage Global Arbitration Review (« GAR ») pour « l’Institution régionale qui a impressionné » témoigne d’une croissance accélérée de son nombre d’affaires.
Depuis sa création en 2010, la BCDR a administré 350 cas par le biais de la Cour de la BCDR (pour les différends d’une valeur supérieure à 1,3 millions de dollars américains dans lesquels une partie au moins est une institution financière agréée par la Banque Centrale de Bahreïn, ou lorsque le différend est de nature commerciale internationale) ou de son aile d’arbitrage international, la BCDR-AAA.
À ce jour la valeur des différends référés à la BCDR excède 6,2 milliards de dollars américains.
Durant les 12 derniers mois, 57 nouveaux cas ont été soumis à la BCDR : 41 à la Cour de la BCDR et 16 à la BCDR-AAA. Enregistrés en un an seulement, ces nouveaux cas représentent 16% du volume de travail cumulé de la BCDR.
Promoteur engagé de la diversité en matière d’arbitrage, la BCDR vise à réaliser une plus grande représentation féminine dans la composition de ses tribunaux. La BCDR a le plaisir d’annoncer que près de 30% des arbitres désignés à ce jour sont des femmes, pourcentage que la BCDR espère voir augmenter constamment dans les années à venir. De plus, les arbitres déjà désignés viennent de pays divers, tels l’Arménie, l’Australie, Bahreïn, l’Égypte, la France, l’Italie, le Liban, le Singapour, la Suisse, la Syrie, le Royaume-Uni et les États-Unis.
Alors que le secrétariat plurilinguiste de la BCDR s’efforce avec diligence de maintenir ses services administratifs à un haut degré d’excellence, la BCDR persévère dans son rôle de leader en éducation dans la région et continue à représenter Bahreïn aux réunions de la Commission des Nations Unies pour le droit commercial international (la « CNUDCI »).